Mérignac Marne

Mérignac (33)

Typologie : Programme mixte 
Programme : Construction
Année : 2021 - 2027
Statut : En cours
Logements :  1 468 logements
Logements : 93 539 m2  - tertiaire : 15 884 m2 - Parkings : 2 072 m2
Type de mission : AMO environnement bâtiments et espaces publics
Maîtres d’ouvrages : La Fabrique de Bordeaux Métropole
Maîtres d’oeuvres : Martin Duplantier Architecte & Debarre Duplantier Paysage,
Performances : RE 2020 - niveaux carbone et énergie 2025

Présentation du projet
L’opération d’aménagement de « Mérignac Marne» s’inscrit dans les démarches «50 000 logements autour des axes de transports collectifs» et «55 000 ha de nature» portées par Bordeaux Métropole. S’étendant sur 24,3 ha, elle vise à transformer une ancienne zone de commerciale fortement urbanisé en un morceau de ville alliant logements et rez-de-chaussée commerciaux, nature en ville et aménités urbaines.
A ce terme, le projet aboutira à la réalisation de 15 884 m² de commerces et de 1 468 logements, permettant l’accueil d’environ 2 900 habitants.
Porte d’entrée ouest de l’agglomération bordelaise, le secteur Mérignac Marne se structure autour de l’avenue de la Marne, axe de transit important reliant l’aéroport de Bordeaux-Mérignac et au centre de l’agglomération bordelaise, en articulation avec la ligne A du tramway. 
L’ambition du projet est de porter fortement la notion de nature en ville (préservation de l’existant et création de biodiversité dans des espaces urbains), l’adaptation au changement climatique, le confort estival d’été et la qualité d’habiter.

Stratégies environnementales
> RE 2020 niveaux 2025 en figure imposée et niveaux 2028 en figure libre,
> Traitement passif du confort thermique estival (puits climatiques, ventilation naturelle, services rendus par la nature, forte performance thermique des enveloppes, climatisation proscrite...),  
> Logements traversants ou bi-orientés > 95%,
> Matérialité bas carbone, bio et géosourcée,
> Flexibilité et démontabilité des bâtiments (construction circulaire),
> Nature en ville, biodiversité urbaine et recomposition des sols comme ressource vivante 
(micro-faune, rétention des eaux pluviales...),
> Forêt urbaine (2 arbres par habitant) + coefficient de biodiversité > 0,52,
> Réduction de 60% des consommations d’eau potable par rapport à un bâtiment résidentiel standard (traitement et valorisation des eaux grises et eaux pluviales),
> Réduction de la vulnérabilité des bâtiments aux aléas climatiques (tempêtes, pluies abondantes, sécheresse),
> Urbanisme de l’ombre + toitures terrasses plantées,
> Qualité de l’air extérieur et intérieur (matériaux A+)
> Confort acoustique (axes routiers nord-sud fortement circulés)